J'ai envie de lire l'histoire du tout premier, celui qui vous a fait découvrir le rat, qui a démarré votre
passion et qui vous a fait aimer le rat.
De mon côté, il s'appelait Lucky George, nom donné par son ancienne famille.
Lucky était sur le site internet de la spca de montréal depuis un bon bout de temps.
Je regardais le site et à chaque fois que je voyais la photo de Lucky, je me disais
''aah.. j'peux pas maintenant, mes parents m'ont bien dit dans 4 mois''
1 mois après, j'y retourne, il est encore là... je trouvais que ça n'avait pas d'allure!
Surtout que les rats sont en général dans de petites cages à hamster!
Donc je montre la photo à mon père, ensuite ma mère...
Ils m'ont juste dit ''Va le chercher ton rat''
Donc le 18 décembre 2005 nous sommes aller le chercher.
Il était nerveux, mais je ne voulais pas le laisser là.
Ça lui a pris un bon 2 mois avant de bien se laisser câliner, et 5 mois plus tard
c'étais le rat le plus affectueu que je n'avais jamais eu hehe!
(Normal.. c'étais mon premier..mais non, j'avais Millow aussi)
Il dormait sur moi, venait quand je l'appelais il pouvait passer tellement de temps à dormir
sur moi!
Je l'aimais tellement ce rat, même à y repenser à ça me fait de quoi!
Après 1 an et demi de vie commune (il devait avoir plus d'un an quand je l'ai adopté)
Lucky s'est mis à perdre l'utilité de ses pattes arrières... je devais le prendre moi-même et j'ai du
le mettre dans une cage ayant qu'un seul étage pour qu'il ne se blesse pas en essayant d'escalader.
Sa dernière nuit a été passé dans mon tirroire à côté de mon lit il était tellement faible qu'il ne pouvait pas
beaucoup bouger, je pouvais le coucher n'importe ou il gigottait s'allogeait et me regardais.
Je regrettais qu'un vet ne soit pas ouvert pour le faire euthanasier...
Il était dans un tas de petite couverte et le lendemain il y était toujours, toujours vivant.
Je l'ai caressé, donné à manger et à boire à la seringue, le soir même pendant que je suis partit
prendre ma douche, il s'est endormis.. pour toujours.....
Je m'ennuie gros de lui, c'est grâce à lui que je vis la belle aventure des rats